Arman avait le respect et savait reconnaitre le travail bien fait.
Il lui est arrivé plusieurs fois d'avoir en main des instruments valables.
Donnés ensuite à des luthiers, pour qu'une fois restaurés ces instruments de qualité puissent être mis à disposition de musiciens avec de petits moyens.
Il se nommait « -
L'Attila des violons ».
Mais pas de n'importe lesquels.
Seulement des instruments injouables, impraticables, qui n'auraient jamais pu servir à initier des musiciens, juste à les dégoutter.